Ils n’avoueront jamais que du fruit de leurs labeurs aucune once de bonheur ne prit forme de l’autre côté de la barrière ; celle où ils se seront évertués à penser dans une mesquinerie pugnace d’une puanteur bête et aveugle, qu’ils auront au moins eu le bénéfice de créer de « l’emploi ». Jamais ils ne comprendront qu’ils n’ont fait que de créer d’aveuglement en acharnement, la nécessité de cet emploi et surtout de tout ce qui va avec en termes d’obligations normatives, de la possession d’une voiture à « l’obligation » de créer un nid, quelque chose que l’employé pourra enfin avoir le mérite de dire qu’il a obtenu par le fruit de son labeur. D’un autre côté, il n’y a pas vraiment de surprise pour ce genre de personnes ayant fait des études de marketing ; sachant qu’ils ont appris dès le bas âge à étudier les mécanismes qui leurs permettront d’enculer le peuple et de pousser la ménagère de plus de 50 ans, comme ils le disent, à consommer toujours plus… Que reste-t-il d’humanité dan
Cela fait déjà un bon moment que la femme est comprise comme un objet de marketing, comme une personne qui ne peut s’empêcher de consommer, pour la majorité tout du moins. Malheureusement, dans la crise sociétaire que nous traversons, les célibataires hommes et femmes qui utilisent des applications de rencontres, ne sont pas toujours sur la même longueur d’onde. Le niveau d’exigence des femmes pour trouver un partenaire qui leurs conviennent ne fait que d’augmenter, nous finissons par nous retrouver face à une armée de CV appartenant à des célibataires hommes ou, si ce dernier n’a pas de job, de voiture, de situation professionnelle, etc. Il se verront « effacer » au profit d’un « CV » plus attractif. Cela est sans doute du au fait que la situation financière des femmes avec enfants et séparée devient on ne peut plus difficile face à la crise économique actuelle. En somme, si une femme ne trouve pas un homme qui pourra assurer financièrement pour aider sa concubine à élever