Nous entendons dire communément que les réseaux sociaux sont la cause de manipulations de grandes envergures pouvant aller jusqu’à l’institution ou la défaite de l’une ou l’autre figure politique. Pourtant, il semble que le tout quidam ait du mal à croire dans la véracité de ce genre de propos. Nous pensons que ce doute émis quant à la possibilité des réseaux sociaux de pouvoir avoir une si grande influence dans l’un ou l’autre évènements, doit résider à la fois dans un paradoxe entre la culture du doute et du complotisme, propre aux individus qui n’ont pas le niveau d’éducation nécessaire pour remettre en question la véracité de ce qu’on leurs offre comme du « tout cuit » et, dans le pouvoir des gouvernements ou des groupuscules qui disposent des fonds nécessaires pour avoir une influence « réelle et prépondérante » sur ces dit réseaux, dont le faisceaux d’actions est bien plus profondes que les « gamineries » que l’on peut trouver sur ce genre de réseaux. Point de vue de l’in
La personne « Alibi » a pour fonction de faire croire qu’une classe sociale est perméable, qu’elle est ouverte et que tout le monde peut passer d’une classe inférieure vers une classe supérieure. Il existerait une possibilité pour que les pauvres deviennent plus riches en s’élevant vers une classe sociale après avoir fait des études par exemple ou, pour prendre un exemple plus extrême, en devenant une star du showbiz ; en réalisant le rêve américain en quelque sorte… Nous allons voir que la réalité est tout autre ! Il est difficile de faire tenir cette représentation des choses avec la manière dont fonctionne réellement voire plus justement la société qui comprend un nombre incroyable de mécanismes de protections de classes, en ce qui concerne les plus aisées pour empêcher le tout quidam de s’inviter dans une classe supérieure à moins que ? A moins que ce tout quidam remplisse une fonction latente ou tacite permettant aux personnes les mieux placées dans ladite classe sociale s