Nous entendons dire communément que les réseaux sociaux sont la cause de manipulations de grandes envergures pouvant aller jusqu’à l’institution ou la défaite de l’une ou l’autre figure politique. Pourtant, il semble que le tout quidam ait du mal à croire dans la véracité de ce genre de propos.
Nous pensons que ce doute émis quant à la possibilité des réseaux sociaux de pouvoir avoir une si grande influence dans l’un ou l’autre évènements, doit résider à la fois dans un paradoxe entre la culture du doute et du complotisme, propre aux individus qui n’ont pas le niveau d’éducation nécessaire pour remettre en question la véracité de ce qu’on leurs offre comme du « tout cuit » et, dans le pouvoir des gouvernements ou des groupuscules qui disposent des fonds nécessaires pour avoir une influence « réelle et prépondérante » sur ces dit réseaux, dont le faisceaux d’actions est bien plus profondes que les « gamineries » que l’on peut trouver sur ce genre de réseaux.
Point de vue de l’individu, ces réseaux renvoient donc une image paradoxale entre « les bons conseils » journalier de la cuisine de Martine et ceux de groupuscules et de leurs millions de dollars pouvant influencer l’opinion publique sur des sujets disons « hard ». L’individu se trouve pris entre les « niaiseries » qui ont cours sur ces réseaux et l’une ou l’autre campagnes d’influences rendues possibles par l’argent quand ce n’est pas tout bonnement par le piratage.
En somme, la « cuisine de Martine » finit par rendre "opaque" l’action des groupuscules ayant pour seul objectif de renverser l’opinion publique en faveur de leurs causes… L'individu se trouve dans un tourbillon de contradictions psychologiques où tout et son contraire deviennent possibles, tant et si bien que plus rien ne peut être tenu pour véridique et que, de cette manière les groupuscules disposant de large fond monétaire ont le champ libre pour distiller leurs venins sans que l'individu bêta en ait conscience!
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